Le cinéma allemand ne se résuma pas, ou plus, à Derick. Ca, c’était une autre époque. Il a bien évolué et les studios sont capables de rivaliser avec des films américains. C’est le cas pour ce film, où la mise en scène et le rythme n’ont rien à envier aux long-métrages hollywoodiens. Ou encore les précédents Tribes of Europa et Barbares.
On pourrait presque comparer le film à d’autres du même genre. On peut, par exemple, penser à « Une virée en Enfer » avec Paul Walker. Ce n’est pas le film pour lequel il est le plus connu, mais ça résume bien l’ambiance. UN film qui part d’une bonne ambiance et qui vire d’un coup au cauchemar à cause d’une mauvaise rencontre. Pour finir, cela débouche sur du survival…
Comme des proies n’emprunte pas la voie du road-trip qui finit en bad trip, mais plutôt celui de l’enterrement de vie de garçon. Au début du film, on fait connaissance avec 5 amis. A l’occasion d’un enterrement de vie de garçon, ils partent faire une randonnée dans les bois. Sans qu’ils ne comprennent pourquoi, ils deviennent la cible d’un mystérieux tireur. Un tireur qu’on ne connait d’ailleurs qu’à travers ses coups de feu. Commence alors une véritable quête de survie pour trouver de l’aide, bien rare, et sortir des bois sains et saufs.
On se doute bien que le rythme sera effréné du début à la fin, si ce n’est pour les 5 premières minutes du film qui nous offrent un peu de répit. Pour mener l’action tambour battant, c’est Thomas Sieben qui s’est mis derrière la caméra. Hormis lui et David Kross (Le liseur), les acteurs de ce film ne sont pas connus de notre côté de la frontière. Mais en Allemagne, ils ont tous déjà joué dans plusieurs films et connaissent une certaine notoriété.
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