BigBug, une bonne vieille comédie à la française

BigBug

Qui a dit qu’il allait des millions de dollars et des stars à tout-va pour faire un bon film. La simplicité n’a parfois pas d’égale et avec ce film, Jean-Pierre Jeunet risque de nous le prouver une nouvelle fois. On notera tout de même qu’il fait appel à de très nombreuses têtes connues du cinéma français.

En l’occurrence, Elsa Zylberstein et Isabelle Nanty dont on connait les capacités humoristiques. Elles ne seront pas seules, puisque Manu Payet, Alban Lenoir, François Levantal seront de la partie. André Dussolier prêtera quant à lui sa voix.

Du côté du scénario, on rejoint le thème abordé par un autre film, américain celui-ci, de l’intelligence artificielle. Ici, il s’agira tout de même d’une comédie.

En bref : nous sommes en 2050 et comme on l’imagine, l’intelligence artificielle a envahi les moindres recoins de nos vies. L’humain ne peut d’ailleurs plus s’en passer pour résoudre ses problèmes, assouvir ses envies et répondre à ses besoins. C’est au cours d’une soirée tout ce qu’il y a de plus normale, que quatre robots domestiques décident de prendre en otage leurs propriétaires. Coincés dans une maison de banlieue, ces humains se déchirent sous les yeux des robots. Tous les clichés sont là : la famille pas tout à fait recomposée, la voisine envahissante, le robot sexuel.